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10/11/2008

Libération de Marseille - Seconde guerre mondiale

Je suis habitant de Marseille, est depuis maintenant 2 ans je me suis passionné pour l'histoire de la libération de ma chère ville.
Ce sont les vestiges locaux qui on éveillés mon attention (le sherman Jeanne d'arc à ND de la garde ainsi que les restes de bunkers Allemand tout proche de notre littoral)

J'espère prochainement acquérir votre livre pour y découvrir de nouvelles informations.
Néanmoins je suis toujours dans l'attente de diverses informations pour la réalisation du sherman "Jourdan" du MDL Lolliot.

Lors de l'assaut de ND de la Garde le Sherman m4a4 "Jourdan" a été déchenillé par une mine, de quelle façon ? en avancant en reculant ? Il fut réparé immédiatement aprés les combats ?

Vous trouverez ici les photos du sherman m4a4 jeanne d'arc que j'ai réalisé en maquette.
http://img88.imageshack.us/img88/9645/180208009yk0.jpg
http://img88.imageshack.us/img88/2711/180208012jm0.jpg
http://img175.imageshack.us/img175/2585/180208010jn3.jpg

Le dodge du général Chapuis et Monsabert lors des combats dans Marseille
http://img530.imageshack.us/img530/3307/dodgemonsabert019bj0.jpg

bien cordialement,
CL

10/07/2007

Le Pont Rail de Lutterbach

be5736816d2b6aac02d5095a34c2e126.jpg

09/07/2007

Soldat de la seconde guerre mondiale

En faisant l'ascension de l'observatoire des 50 années écoulées depuis le 13 mars 1943, date de mon engagement volontaire dans l'armée, je tenais à mettre l'oeil sur l'objectif grand angle, ayant pour champ le panoramique le plus large possible, d'écrits relatant la chevauchée fantastique de la 1ère armée française : celle du Général de Lattre de Tassigny.

Cette démarche me paraissait indispensable pour donner corps aux péripéties personnelles ayant ponctué le parcours Mers-El-Kébir - Sigmaringen - Autriche.

Aussi, ai-je eu recours de façon auxiliaire, aux archives de guerre, aux communiqués, aux citations, etc..

Mais pour l'essentiel, c'est dans la réactivation de mes souvenirs propres, intacts pour les plus marquants, que j'ai trouvé le support le plus exact, conforté par les notes écrites, comme les miennes, au jour le jour par certains frères d'armes et notamment, celles d'Antoine du Passage, Louis Contursi ; s'y ajoutant, les témoignages çà et là parfois controversés par l'érosion du temps, mais corrigés par le chevauchement des archives.

Eu égard au titre de ce livre.

Lors d'une réception communale, il me fut posé la question suivante. Je cite : "Pourquoi écrire un autre livre" sous entendu : le sujet n'est-il donc pas épuisé depuis 50 ans ? Et bien, vraisemblablement non, la réponse appartiendra à ceux qui dans 10, 20, 50 ans et peut-être plus auront regroupé les derniers indices événementiels et réalisé par recoupement dans le tri des archives et témoignages, la dernière approche du patchwork de l'antérieur vrai.

Ne dit-on pas que les historiens ont besoin de recul. Puisse, le grain d'histoire que je conte, fixer par l'écrit, constituer un milli-élément propre à combler ou à corriger certaines lacunes involontaires du puzzle géant de cette seconde guerre mondiale.

Par ailleurs, disons-le d'emblée : si ce livre suit un itinéraire géographique et chronologique rigoureux, il s'échappe par moments du concept fusiforme d'un "journal de marche" ; par l'incidence dévolue au quotidien relationnel du soldat libérateur.